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Paroisse Saint Jean Baptiste

Clochers

Découvrez les clochers de notre paroisse

L’Église Saint-Pierre est une petite église romane, composée d’une nef unique qui se termine par un chevet plat percé de deux baies rectangulaires. La façade occidenatle est surmontée d’un clocher mur à deux baies où se trouve une cloche en bronze du XVe siècle, classée Monument Historique (1912) offerte par Jouna de La Mothe, épouse de Charles de Montferrand, dame de Roquetaillade, comme le confirme l’inscription portée sur la cloche. On accède au clocher par un escalier qui s’appuie en partie sur le mur méidional de la nef. L’église a fait l’objet, récemment, d’importantes restaurations.

Église Saint-Martin.

Église Romane restaurée en 1886.  En savoir plus.

Cathédrale Saint Jean-Baptiste.

La cathédrale actuelle a été édifiée du XIIIème au XIVème siècle à partir d’une construction romane dont les traces sont encore visibles dans la base du clocher.

Classé monument historique en 1840 et inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998 au titre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France, ce majestueux édifice gothique est le plus important de la cité. En savoir plus.

Vue de la Cathédrale de Bazas de Face

Église Notre Dame.

L’église, construite au XVIème siècle, est agrandie en 1838. Elle fait l’objet de nouveaux travaux en 1873, date à laquelle la famille Callen offre le clocher. A l’intérieur, sur l’un des piliers, sont mentionnés, en lettres gothiques, le nom du fondateur de l’église, Amédée de Cazeneuve, et la date de 1572. Les nefs latérales sont ornées de retables en bois du XVIIème siècle. En savoir plus.

Église Saint-Laurent.

Cette église romane du XIIIème siècle est fortifiée et remaniée au XVIème siècle. Elle est alors dotée d’une tour carrée à créneaux et sommée d’une galerie de bois. L’abside semi-circulaire est ornée, à l’intérieur, de peintures murales dont un décor peint du XVème siècle présentant le thème du Jugement dernier en quatre panneaux. Le Christ est entouré des symboles des Evangélistes et flanqué de la Vierge et de Saint Jean-Baptiste. La nef s’orne d’un décor peint de la fin du XIXème siècle.En savoir plus.

L’Église Saint-Michel trouve ses racines dans le Moyen Âge, période au cours de laquelle de nombreuses églises ont été érigées en Aquitaine. Construite au XIVe siècle, elle a connu plusieurs phases d’extension et de rénovation au fil des siècles, préservant ainsi son caractère historique. Son nom, dédié à l’archange Saint-Michel, évoque la protection divine, une symbolique qui a probablement été cruciale pour la communauté locale à travers les âges.

L’Église Saint-Martin (1869) remplace l’église primitive qui était en partie fortifiée. De style néo-gothique, elle est composée d’un long vaisseau central de cinq travées terminé par une abside polygonale. Il est bordé de deux bas-côtés. A l’Ouest, un haut clocher porche contribue à l’allure générale de cette église qui est le phare du chef lieu de canton.

Église Saint-Aignan.

Dominant la vallée du Lysos, couverte de bois et dont les coteaux sont cultivés, l’église Saint-Aignan est le noyau du village médiéval. Elle se situe désormais à plus de deux kilomètres du bourg actuel, constitué tardivement autour d’un carrefour, sur la route de Grignols à Auros.

Église Sainte-Madeleine.

Église paroissiale du XIXe siècle. Au Moyen Âge, la paroisse de Cazalis fait partie intégrante du village de Préchac et dépend du seigneur de Cazeneuve puis de la famille d’Albret au xive siècle. Érection de la section de Cazalis, commune de Préchac, en commune distincte par décret impérial du 20 juin 1857.

Église Saint-Martin.

Cette église romane a été remaniée au XVème siècle. Le clocher-pignon avec galerie est caractéristique du Bazadais. L’église conserve des fresques polychromes restaurées en 1998.

Église Notre-Dame.

Cette église du XIXème siècle a été édifiée sur l’emplacement de l’ancienne église qui datait du XVIIème. Le sanctuaire est composé d’un vaisseau allongé, prolongé par les bras du transept et un chevet en demi-cercle. Le clocher est une tour couronnée de merlons. La porte est surmontée d’un tympan en plain cintre. La cloche a été fondue au milieu du XIXème siècle. L’église abrite une statue d’une vierge noire à l’enfant en bois qui faisait l’objet d’un pélerinage le 08 septembre, jour de Fête de la nativité de la Vierge.

Église Saint-Jean de Cudos.

L’édifice construit aux xive a été agrandi au xviie siècle avec l’ajout de bas-côtés à la nef et de deux portails latéraux de chaque côté du portail central, puis agrémenté d’un clocher au xixe siècle ; il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du .
Il abrite trois retables remarquables protégés restaurés en 2003.

Église Notre-Dame d’Escaudes.

Construit vers le xie ou xiie siècle, réaménagé au xvie siècle avec, entre autres, la construction du clocher-mur, puis agrandi au xviie siècle, l’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  dans sa totalité. En savoir plus.

Église Saint-Martin.

Construit originellement au xiie siècle, l’édifice est remanié au xvie siècle avec l’ajout d’un bas-côté au nord ; il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  en totalité. En savoir plus.

L‘Église Saint-Pierre de Gans était la chapelle de l’ancien château-fort, située dans l’enceinte même de ce dernier, selon les nombreuses découvertes d’épaisses murailles faites tout aux alentours. En 1789, cette église fut dévastée et convertie en salpêtrière. Le clocher est de figure oblongue, terminé en angle aigu et surmonté d’une croix de Malte en pierre. Il est flanqué d’une tourelle dont on ne s’explique pas aujourd’hui le rôle, aucune ouverture n’y donnant accès. L’une des cloches porte la mention « Je suis faite en l’an 1547 pour Saint Pierre de Gans ». La seconde, appelée « la Dauphine de Gans », fut bénie le 24 juillet 1842.Sa

L’Église Saint-Pierre est construite en 1867, sans doute à l’emplacement d’un édifice ancien.  Bâtie dans un style néo-gothique et dotée d’une haute flèche, elle conserve cependant le caractère modeste des églises de campagne.

Une croix en fer forgé fait face à l’église. Posée sur une colonne à base prismatique, cette croix est élevée à la fin du XIXe siècle. Les fidèles peuvent s’y recueillir avant de pénétrer dans le lieu de culte.

Église Saint-Antoine.

Construite à l’origine au xiie siècle, l’église se compose d’une nef romane voûtée en berceau continuée à l’est par un chœur de la même époque abritant un maître-autel et un retable en bois sculpté remarquables ; les bas-côtés, voûtés d’ogives, en sont du xvie siècle, de style gothique ; l’édifice est inscrit en totalité au titre des monuments historiques par arrêté du .

Église Notre-Dame de l’Immaculée Conception.

L’édifice, construit dans le style gothique, est précédé d’un clocher-porche à 3 portails. Celui du centre, surmonté d’un tympan dédié à L’IMMACULÉE CONCEPTION, ouvre sur la nef, et les 2 portails latéraux donnent sur les bas-côtés. En 1902, la Municipalité rachète l’église aux héritiers du Comte de Sabran.

Église Saint-Martin.

L’ancienne paroisse d’Insos relevait, sous l’Ancien Régime, de la seigneurie de Cazeneuve pour le temporel, et de la paroisse de Lucmau pour le spirituel. Après la Révolution française, elle a été rattachée à la commune de Préchac. L’église dédiée à saint Martin, est isolée en pleine lande et entourée de seulement quelques maisons.

Elle a été récemment restaurée. Le haut clocher du xive siècle renforcé par deux contreforts est prolongé par une nef unique, rebâtie au xvie siècle, qui vient s’appuyer sur un large mur où s’ouvre l’arc triomphal du xiiie siècle. Ce dernier donne sur le chœur et l’abside qui datent de la même époque. Le chevet a conservé sa structure romane avec ses contreforts et ses modillons (ornements en forme de console renversée).

Elle est inscrite monument historique par arrêté du 

Église Saint-Romain.

L’église actuelle, dont le porche porte la date de 1848, a remplacé une chapelle située sur les bords du Ciron (à l’emplacement du cimetière). La nef, de plan barlong, est couverte par une voûte en plâtre sur lambris. Le chevet voûté est légèrement plus étroit à l’intérieur et se termine par un mur droit. L’église est parvenue jusqu’à nous avec son autel de pierre formé par deux grosses colonnes doriques soutenant un fronton, ses peintures murales, aux fins motifs décoratifs, ses lustres et son chemin de croix. Elle évoque ainsi un décor de théâtre. Un porche vint plus tard s’appuyer contre sa façade occidentale.

Église Saint-Étienne.

L’église de cette ancienne baronnie remonte à l’époque romane. Il subsiste en effet la nef en moyen appareil régulier percée de fenêtres en plein cintre, et l’abside en hémicycle dont l’appareil est caché par un enduit récent. Ni l’abside ni la nef ne portait de voûte.

A la fin de la période gothique, l’abside a reçu alors une voûte en étoile se terminant par une clef décorée de la couronne d’épines.

Au XIXe siècle, la nef de l’église fut couverte par une fausse voûte en plâtre ; un clocher-porche vint s’adosser à la façade ouest. A l’intérieur, sous la toiture du chevet, on remarque une ouverture rectangulaire. Il pourrait s’agir d’un petit réduit de protection, qui permettait aux villageois du Moyen-Age de s’y réfugier. On y accédait par une échelle en bois.

Église Saint-Jean.

L’ancienne église romane était située à quelque distance du bourg actuel, sur la route de Saint-Symphorien, non loin d’une fontaine réputée pour guérir les maux d’yeux. Cet édifice, trop éloigné du village, est démoli et remplacé par une nouvelle église au XIX ième siecle. Son emplacement, à l’interieur du cimetière, n’est plus discernable et est occupé par des tombes ; le fût polygonal d’une croix, vraissemblablement de la fin du XV ième ou du XVI ième siecle, est le seul vestige se rapportant à cet édifice disparu. La nouvelle église est construite grâce à un don du docteur BATAILLEY, enfant du pays devenu Carme sous le nom de père Damien, qui offre en 1865 sa part d’héritage familial pour l’édification d’une église au coeur du village. Cette église à abside polygonale, avec un transept saillant et une nef unique, couverte de voûtes d’ogives,est bâtie dans le style éclectique de l’époque Napoléon III. Le cloché occidental, financé par une souscription, est ajouté en 1904 ; une petite cloche datée de 1620, qui provenait de l’ancienne église, y est alors placée. A la même époque, un autel à la fin du XVIII ième siècle prend place dans le croisillon sud du transept.

 

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Église Saint-Christophe.

L’édifice construit, à l’origine, au xiie siècle et agrandi au xvie par une abside longitudinale nord est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  en totalité. En savoir plus.

 

Église Notre Dame.

 

Église Saint-Vincent.

L’Église Saint-Vincent, édifiée par les Templiers de la Commanderie de Bernos au xiie siècle, présente une nef et un chevet de style roman tandis que la façade ouest et le clocher à flèche de pierre, rebâtis au xixe siècle, sont de style néoroman.

Église Notre Dame.

Église Saint-Vincent.

Construite au xiie siècle à l’emplacement d’une villa gallo-romaine, l’église présente une nef unique non voûtée, terminée par un chœur voûté en cul-de-four. Le clocher roman est flanqué de deux contreforts. Au xixe siècle, une chapelle est ajoutée au nord et une sacristie côté sud.
L’édifice est classé au titre des monuments historiques par arrêté du  pour sa façade ouest et son clocher et inscrit par arrêté du  pour le reste de l’édifice. En savoir plus.

 

Église Saint-Pierre.

L’Église Saint-Pierre est à l’origine un petit édifice roman sans voûte construit vers la fin du xiie siècle ou le début du xiiie qui a été remanié ou partiellement rebâti entre la fin du Moyen Âge et le xixe siècle.

Église Saint-Martin.

Construit au xiie siècle, l’édifice est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  pour sa façade et son clocher1. Il abrite des fresques murales récemment restaurées. Le portail en a été bâti au xve siècle. En savoir plus.

 

Église Saint-Martin.

L’édifice construit, à l’origine, au xie siècle est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  pour son abside et son chœur. En savoir plus.

 

Église Saint-Vincent.

L’édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1925 pour son abside et son chœur et en 2004 en totalitéEn savoir plus.

Église Saint Jean-Baptiste.

L’édifice construit à l’origine au xiiie siècle a été partiellement restauré au xviiie siècle.

Elle est inscrit partiellement au titre des monuments historiques par arrêté du  pour ses façades et toitures et en totalité par arrêté du En savoir plus.

Église de Saint-Saturnin.

L’édifice, initialement construit au xive ou xve siècle, a conservé son chevet et son abside d’époque mais la nef et le clocher ont été reconstruits en 1869 ; il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 1 pour son abside.
Il abrite une cloche de bronze du xve siècle qui a été classée au titre objet en 1916En savoir plus.

Église Saint Pierre-Es-Liens.

L’édifice est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 10 février 1909.

Église Saint-Pradèxe.

L’Église Sainte-Praxède, de style roman, du xie siècle, restaurée au xixe siècle : nef lambrissée et deux chapiteaux romans au chevet.

Église Saint Jean-Baptiste.

Cet édifice roman des XII, XIV et XIXèmes siècles est composé d’une nef haute de 15 mètres à laquelle font suite un choeur et une abside en hémicycle. L’abside comme le choeur sont couverts par une voûte en ogive du XIVème siècle. La voûte de l’abside présente quatre chapiteaux ornés de sculptures. L’église et le cimetière étaient fortifiés. Il reste des vestiges de cette fortification notamment sous le porche d’entrée du cimetière où, de part et d’autre du portail, se trouve une archère cruciforme.

Église Notre Dame.

L’église, entourée de son cimetière, est isolée au milieu des champs. La nef rectangulaire, l’abside en hémicycle ainsi que les baies romanes datent du XIIème siècle. L’ensemble est actuellement couvert d’un lambris de bois sous la charpente.

Le clocher-pignon, très aigu, percé d’une porte gothique, est reconstruit à la fin du Moyen-Age. La date de 1683 figure au-dessus de la porte sud. Contre le mur sud de l’église, une sacristie est ajoutée : sa fenêtre à l’est est datée de 1772.

Église Saint-Côme et Saint Damien.

Église Saint-Côme-et-Saint-Damien, souvent reconstruite et remaniée, ne présente aucune unité architecturale ; en 1838, de grands travaux de rénovation furent entrepris par l’abbé O’Reilly, curé de la paroisse.

Jusqu’au début du xxe siècle, la vénération portée à saint Côme, saint patron de la paroisse était grande et donnait lieu à un pèlerinage annuel. À cette dévotion, on avait attaché les vertus curatives de l’eau de la fontaine près de l’église, qui selon la légende guérissait les affections cardiaques.

À l’intérieur de l’église on peut voir une clé de voûte portant en chiffres romains la date de 1653. L’autel en bois du xviiie siècle est répertorié à l’inventaire des bâtiments de France. On peut remarquer, dans l’église, la statue de saint Côme tenant dans sa main droite un cœur, alors que sa main gauche est posée sur une épée, instrument de son martyre sous Dioclétien, au ive siècle.

Église Saint-Léger

Cette église du XIIe siècle, remaniée au XVIe siècle, abrite des peintures murales représentant le travail des saisons, un moissonneur, un vendangeur et l’abattage d’un cochon. L’autel est décoré d’un antependium, toile peinte du XVIIIe siècle. Le tableau du retable de Saint Clair date du XIXe siècle.

Église Saint-Michel

Cette église aurait existé dès l’époque romane, mas en 1868 elle a été presque entièrement reconstruite. La façade conserve dans sa partie basse quelques éléments anciens, dont le portail du XVIème siècle. A la simple nef, terminée à l’est par un chevet semi-circulaire (décrite par Léo Drouyn lors de son passage en avril 1866), s’est substitué un édifice qui présente la forme d’une croix avec un transept bien marqué et un chevet polygonal.

La nef peu éclairée est couverte d’un plafond lambrissé. Ses murs peints imitent un appareillage de moyen appareil régulier. Les chapiteaux du choeur possèdent un intéressant décor polychrome.

Église Saint-Symphorien

L’édifice a été construit au xvie siècle dans le style gothique et présente, à l’instar de nombre d’églises gasconnes, un clocher-pignon à trois baies ; il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du  en totalité.

Collègiale Notre Dame d’Uzeste

À l’origine, l’église édifiée à Uzeste au xiiie siècle se nommait l’église de la Bienheureuse-Marie. Elle est agrandie au début du xive siècle par le pape Clément V, né en Aquitaine près de Villandraut et ancien évêque du diocèse de Comminges.

La collégiale Notre-Dame d’Uzeste est une église collégiale, de style gothique avec murs gouttereaux romans. La nef et le clocher datent du xvie siècle. En savoir plus.

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